Tour du monde en stop Ludovic Hubler

Pour faire un tour du monde en stop, même en stop, il faut un minimum de fonds. Ci-joint, quelques-uns des partenaires m’ayant aidé à boucler la grande boucle. L’apport des partenaires a représenté environ 30% des 25.000 Euros que m’a coûté ce tour du monde. Merci à tous :

	Adepte de l’auto-stop, le regretté M. Adrien Zeller avait souhaité s’associer à mon défi. Un grand merci à lui.
	Grâce à son programme “Défi Jeunes”, le ministère de la jeunesse et des sports m’a bien aidé financièrement.
	Grâce notamment à M. André Pultier, le Rotary Strasbourg Kléber s’est associé à mon parcours. Un soutien très apprécié qui me fut très utile. Plus de détails sur le Rotary dans la partie « Après le tour ».
	Le premier quotidien Alsacien m’a aidé financièrement.
	La société Hubler s.a. créée en 1986 par mon père Jacques Hubler distribuait en France, jusqu’en 2004, les panneaux ALPI et HOMAPAL. Son soutien symbolique fut très apprécié.
	Le CIAL Molsheim (ma banque) m’a permis de bénéficier gratuitement de la carte VISA Premier qui me fut utile pendant mon voyage.
	Merci à Blédina, entreprise où j’ai réalisé mon stage de fin d’études pour son soutien.
	Merci à Reneka pour son soutien même si son engagement ne fut qu’à moitié respecté.
	Merci à l’agence Joël Ohayon pour son soutien.
	Tout au long de mon parcours, je fis une chronique régulière sur Europe 2. Merci à cette station qui n’existe plus aujourd’hui.
	Basée en Normandie, Isigny Ste Mère est un acteur incontournable du marché des produits laitiers en France et progressivement dans le monde. Je remercie Marc Chiron, directeur export pour son aide financière.
	Merci au Crédit Agricole Alsace Vosges d’avoir « raclé les fonds de tiroir » selon l’expression utilisée par son directeur. Il n’existe pas de petit soutien !
	Merci à la compagnie Cape-verdienne d’avoir accepté de m’emmener gratuitement dans les îles Canaries alors que j’étais bloqué à Dakar.
	Merci à JCB pour toutes ses illustrations durant ces 5 années. Plus de détails par ailleurs.
	Merci à tous les informaticiens qui m’ont aidé pendant ce tour d’une façon ou d’une autre : Jérôme Botiba, David Doucet, Mickaël Thomassin, etc.
	Merci à la compagnie Bluebridge de m’avoir permis de rejoindre l’île du nord de la Nouvelle-Zélande gratuitement.

Merci aussi à : Jean-marie Job, Mr et Mme Nigon, M. Jean-luc-Brun, M. Eric Kraft, M. Benoît Keller, Mr Vaya Boutsavath (CCI Strasbourg), M. Philippe Doucet (Le Figaro), Bill Smith et au FJT l’Accueil ainsi qu’à tous ceux qui m’ont emmené, logé ainsi qu’à toute ma famille et mes ami(e)s pour leur aide qu’elle fut financière ou morale. Ce projet était aussi un peu le vôtre.